jacklouis
Inscrit le: 26 Dec 2006 Messages: 259 Lieu: Québec (canada)
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écrit le Monday 31 Mar 08, 23:31 |
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José écrit :
Citation: |
A propos de l'imagination, soyons clairs : en matière de recherche étymologique, la qualité première est la rigueur. L'imagination peut être utile, pour envisager une hypothèse par exemple, mais elle doit être étayée par des recherches. | .
Bien d'accord avec vous José, "la qualité première est la rigueur, mais elle doit être étayée par des recherches".
Comment faire alors, quand il s'agit de ces mots anciens des parlers de nos provinces, qui ne se rattachent à rien de connu ? . On ne peut guère qu'imaginer, en examinant avec le sens actuel du mot, de quelles sources les plus voisines, il aurait pu venir.
Pour ce qui est de ce vocable québécois encore très employé ici, "rapailler",je me suis souvenu (comme pour la rave) de mots semblables entendus dans mon enfance. Et,"à la rapaille... ", a toujours cours en Vendée, pour décrire l'acharnement dans l'action, comme dans ces cohues de vautours fauves autour de charognes, aux quelles il m'est parfois arrivé d'assister...
Cohues qui évoquaient aussi pour moi, ce désordre, cette bousculade, cette précipitation, cette rapacité pour tout dire, qu'il existe toujours dans ces rapaillements de "cossins". |
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