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Xavier Animateur
Inscrit le: 10 Nov 2004 Messages: 4087 Lieu: Μασσαλία, Prouvènço
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Marden
Inscrit le: 16 Nov 2004 Messages: 468 Lieu: Seine-et-Marne, Ardennes
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écrit le Thursday 27 Jan 05, 18:21 |
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djpd a écrit: | ... l'abbaye de Stavelot fondée par Saint Remacle.... |
Il conviendrait d'ajouter que le loup était un déguisement choisi par le diable, lequel voulait s'opposer à la venue de Remacle, chargé de venir évangéliser ce pays de "mauvais chrétiens".
C'est à l'Abbaye qu'aurait, au moins en partie, été écrite la chanson des "Quatre fils Aymon" (connue aussi sous le titre de "Renaud de Montauban"), relatant les exploits de quatre chevaliers poursuivis par la vindicte de Charlemagne. Chanson écrite plusieurs siècles après les faits relatés (en 18489 vers rimés ou assonancés), célèbre dans l'Europe entière, plus célèbre que la "Chanson de Roland", pourtant considérée comme plus "littéraire". |
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Pierre
Inscrit le: 11 Nov 2004 Messages: 1188 Lieu: Vosges
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écrit le Friday 28 Jan 05, 20:08 |
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UNE FORME UNIQUE
Par sa forme , le drapeau national du Népal est unique au monde. Il dérive de deux anciennes bannières triangulaires qui furent réunies au 19 ème siècle. La plus petite (en haut) ornée d'un croissant de lune horizontal appartenait à la famille royale ; l'autre était associée à la puissante famille de Rana qui avait choisi le soleil pour emblème. L'actuel drapeau date de 1962. Le croissant et le soleil s'inscrivent en bleu sur un champ pourpre (couleur traditionnelle du Népal). Une étroite bordure bleue court le long du drapeau, qui symbolise l'espoir que le Nepal durera aussi longtemps que le soleil et la lune. |
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Pivetea
Inscrit le: 18 Nov 2004 Messages: 22 Lieu: Poitou
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écrit le Sunday 30 Jan 05, 3:04 |
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Petite rectification pour le symbole poitevin évoqué par Brennos :
La monnaie pictonne présente non pas un "cavalier sur un cheval ailé", mais un "cavalier ailé sur un cheval". Ce n'est pas Pégase.
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Lacuzon
Inscrit le: 08 May 2005 Messages: 150 Lieu: Besançon / Franche-Comté
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écrit le Sunday 08 May 05, 11:56 |
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Les différentes symboles de Franche-Comté
Le lion d'Othon ( blason )
" Sur champ d'azur semé de billettes d'or sans nombre, un lion d'or rampant, armé et lampassé de gueules".
Son origine remonte au Moyen-Age, plus précisément à la fin du XIIIème siècle, à l'époque où le pouvoir du comté de Bourgogne est entre les mains d'Othon IV. Les billettes d'or (rectangles couleur or qui parsèment le drapeau), sont apparues quelques dizaines d'années plus tard pour distinguer les armoiries de la Comté de celles de la famille des Hohenstaufen, vraisemblablement pour évoquer les forêts de Franche-Comté, les billettes étant des morceaux de bois tranchés.
Le jaune lui confère intelligence, prestige, vertu, grandeur.
Le bleu lui apporte fidélité et persévérance
Le rouge le dote du désir de servir sa patrie.
La " croix bourgougnotte de sainct André " fut autrefois un symbole cher au c?ur des Comtois : affectant la forme d'un X, elle est ainsi dénommée car elle aurait servi à la crucifixion de l'apôtre.
De couleur rouge, elle fait partie de l'emblématique des ducs de Bourgogne depuis Jean Sans Peur (1371-1419), qui en fait le signe de ralliement de ses partisans face à la croix blanche droite que portent les hommes du comte d'Armagnac. Son fils Philippe le Bon, en plaçant en 1429 son Ordre de la Toison d'Or sous l'invocation de saint André, fera un usage abondant de cette croix qui ne quittera plus l'emblématique des ducs de Bourgogne et de leurs successeurs : de l'embouchure du Rhin à la vallée de la Saône, les possessions ducales vont se couvrir de croix de saint André, généralement représentées sous la forme de deux bâtons écotés rouges passés en sautoir. Lorsque Charles le Téméraire trouve la mort devant Nancy en 1477, la croix de saint André devient " le signe de ralliement de ceux qui demeurèrent fidèles à l'orpheline ", sa fille Marie de Bourgogne. La mariage de cette dernière à l'empereur Maximilien fait passer la croix dans le domaine des Habsbourg, en même temps que le comté de Bourgogne lui-même. L'empereur hérite avec cette croix des deux signification symboliques qu'elle a acquise en tant qu'emblème d'opposition à la France d'une part et en tant que rappel de l'héritage bourguignon d'autre part. La croix de Bourgogne suivra les destinées de l'empire de Charles Quint : après son abdication en 1556, elle sera l'emblème à la fois des empereurs germaniques et des rois d'Espagne.
Avant 1477, la croix de Bourgogne était commune aux deux rives de la Saône : à la mort du Téméraire, Louis XI met fin à cette situation en intégrant définitivement le duché de Bourgogne à la France. Tandis que la croix de saint André flotte en Comté comme dans toutes les autres possessions des Habsbourg, celle-ci paraît disparaître du duché de Bourgogne : aucune des 75 plaques de cheminée que conserve le Musée de Semur-en-Auxois n'en est orné, alors qu'elles sont extrêmement nombreuses en Franche-Comté. Intégrée progressivement à la France, la Bourgogne ne pouvait guère continuer à arborer un emblème massivement utilisé par ses ennemis Comtois et, au-delà, habsbourgeois.Les habitants du comté de Bourgogne considèrent quant à aux cet emblème glorieux comme la preuve tangible que l'Empereur se rattache à la lignée de leurs comtes. L'historien comtois Jean Girardot de Nozeroy se fait le héraut de la fierté de ses compatriotes, qui ont transmis la croix de saint André au souverain le plus prestigieux d'Europe: " les princes de la maison d'Austriche, empereurs et monarques, ont fait tant d'honneur à la maison de Bourgougne qu'ils ont pris et retenu son ordre de la Toison d'Or, ses livrées et ses estendarts, qui se voyent aujourd'hui arborez par eux sur tout le rond de la terre ". Face aux bannières françaises, elle est utilisée massivement dans les régiments d'infanterie comtois et flamands.
Dans la Comté, l'antique signe de ralliement est abondamment utilisé. Placée aux frontières du pays, gravée dans la pierre des linteaux, la croix figure également sur les fers de reliure du Parlement de Dole, sur le sceau des Minimes de la province du comté de Bourgogne et des villes de Bletterans et Moirans. On le retrouve dans les armes de Jussey et de Jonvelle dès la fin XVIème siècle, et il n'est guère de porte de ville qui n'en soit frappée. En Franche-Comté, la croix de saint André est devenue un véritable emblème patriotique, et les tensions croissantes avec la France ne vont faire qu'intensifier son usage.
Certes, les Comtois ne sont pas les seuls à faire usage de cette croix : les étendards des troupes flamandes puis espagnoles en sont frappées, et sur toute l'orbe terrestre, des sujets des Habsbourg tiennent à exprimer leur loyauté dynastique par l'apposition de cette croix en des supports variés. Pourtant, parmi les marques d'attachement à cette croix, on rapporte que " les régiments levés dans notre province ne voulurent pas laisser aux terces espagnols le privilège de les déployer [les étendards aux croix de Bourgogne] en marchant au combat ". Cette anecdote est à notre sens révélatrice du double signifié exprimé par la croix de saint André : pour les Comtois, arborer la croix de saint André est certes une marque de fidélité aux Habsbourg - et en cela, ils ne se distinguent guère de leurs autres sujets - mais c'est aussi pour eux le moyen de rappeler qu'ils sont Bourguignons, à une époque où leurs voisins d'outre-Saône ne sont plus " que " Français. Cette dimension identitaire, que l'on peut qualifier, avec tous les guillemets de rigueur, de " nationale " ou d'" ethnique " est fondamentale, et distingue précisément les Comtois des Flamands ou des Espagnols. Si les Comtois utilisent cet emblème, c'est parce qu'ils le regardent comme le leur.
Curieusement, c'est précisément sous le règne de Louis XIV que la croix de saint André va réapparaître discrètement en duché de Bourgogne, d'abord sur un jeton de 1651, puis timidement dans les années 1660. C'est en effet l'époque où Louis XIV commence à afficher ses prétentions sur la couronne espagnole, mettant en avant le fait que sa mère et son épouse sont filles aînées des rois d'Espagne. Sans attendre une quelconque légitimation de ses arguties, il décide à partir de 1667 de se lancer dans la conquête des territoires qui relevaient de l'ancien Etat bourguignon.
Considérant la croix de saint André comme partie intégrante de son héritage, il accepte qu'elle soit placée, couverte de lys, sur l'étendard du Régiment de Bourgogne qu'il forme en 1668 afin d'enrôler les Comtois favorables à la cause française. Cette composition inspire à l'historien comtois Jules Chifflet (1615-1676) les propos suivants : " Ils [les officiers du régiment] prirent pour drapeaux une croix de Bourgogne semée de fleurs de lys, dont si j'avois entrepris de décrire l'offense, il sembleroit que je voulusse l'aggraver [...]. Nos anciens princes qui sont en l'autre vie, à la vue de cet étendard, auroient peine de croire un tel oubli de notre nation, sinon jugeant, comme tous les hommes sages firent, que Dieu fit entreprendre cette témérité pour nous humilier d'autant plus par le reproche qui en sera fait à jamais à ceux qui s'enrôlèrent sous une telle enseigne ". Ce témoignage atteste de la force des liens unissant les Comtois à leur croix bourguignonne.Du reste, les tentatives d'appropriation de la croix de Saint André par Louis XIV font long feu : on la retrouve, certes, comme emblème de la compagnie de Gendarmes bourguignons établi en 1674, ainsi que sur le drapeau du régiment Royal Comtois créé après la ratification du traité de Nimègue en 1678. Deux régiments comtois (Salins et Vesoul) et deux bourguignons (Dijon et Autun) placent également une croix de saint André rouge sur leur drapeau, dans un dessin toutefois légèrement différent de la croix de Bourgogne proprement dite. Toutefois, sur les champs de batailles européens, la croix de Saint André frappe bien plus fréquemment les étendards des armées ennemies que ceux des troupes du roi de France...
La croix de saint André est également utilisée par les Comtois pour marquer leur opposition à la conquête française : on rencontre ainsi, dans l'Armorial général de 1696, un impôt sur les armoiries créées par Louis XIV, plusieurs armoiries de bourgeois comtois qui s'exécutent en payant cette taxe, mais protestent symboliquement en déclarant des armoiries ornées de croix de saint André... De même, et ce jusqu'au milieu du XVIIIème siècle, on coulera des plaques de cheminée ornées de croix de saint André. Elles seront progressivement remplacées par des fleurs de lys qui témoignent ainsi de l'intégration, lente mais irrévocable, des Francs-Comtois au royaume de France.
Nicolas VERNOT
Adapté de son article, "sentiment d'appartenance et loyautés dynastiques dans la Franche-Comté de Louis XIV : le témoignage emblématique des plaques de cheminée et de l'Armorial général ", paru dans les Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, n° 44, 2002, p. 13-71.
Une synthèse des deux symboles
Fait au XXIe siècle avec une volonté de préserver ces 2 symboles !
[Note : Les liens vers les images étant cassés ils ont été retirés] |
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Maisse Arsouye
Inscrit le: 10 Nov 2004 Messages: 2037 Lieu: Djiblou, Waloneye
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écrit le Tuesday 06 Dec 05, 21:18 |
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Un nouveau membre s'est inscrit avec comme avatar le drapeau du Brabant Wallon. Cela mérite quelques explications.
La province du Brabant Wallon est issue de la sission de l'ancienne province de Brabant. Les autres territoires issus de cette sission sont le Brabant Flamand et Bruxelles-Capitale. Cette sission a été effectuée en 1995 afin d'éviter qu'une province soit à cheval sur deux régions en prévision de leur future tutelle par lesdites régions.
La province de Brabant reprenait le drapeau de l'ancien duché. A noter que ce drapeau est sable avec un lion or, c'est l'inverse du drapeau flamand !
La province wallone a entouré l'ancien drapeau de deux coqs wallons.
La province flamande a ajouté un petit écusson dont je ne connais pas la signification. |
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Nikura
Inscrit le: 08 Nov 2005 Messages: 2035 Lieu: Barcino / Brigantio
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Jean-Charles
Inscrit le: 15 Mar 2005 Messages: 3124 Lieu: Helvétie
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écrit le Monday 01 May 06, 22:59 |
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Charles a écrit: | L'Albanie (au-dessus de l'aigle se trouve le casque de Skanderbeg) |
En commentant en plaisantant l'aigle albanais, j'ai dit à un Kosovar: "C'est quand même un drôle d'animal, avec 2 tête."
L'explication est extrêmement intéressante: S'il y a 2 têtes, c'est que les albanophones, qui étaient catholiques avant l'invasion turque, sont aujourd'huui catholiques ou musulmans.
De chrétiens et des musulmans qui cohabitent laïquement ça valait la peine d'être mentionné. |
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Liliane
Inscrit le: 20 Mar 2006 Messages: 785 Lieu: Côtes d'Armor
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écrit le Tuesday 02 May 06, 20:34 |
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Le drapeau du Trégor.
Son logo représente un dragon rouge devant une croix noire traversante sur fond jaune.
La croix noire sur fond jaune est l'emblème de Saint Yves né à Tréguier, siège de l'évèché du pays trégor,
Le dragon rouge est quant à lui l'emblème de Tudwal (Saint Tugdual), le Saint patron du Trégor.
Dernière édition par Liliane le Wednesday 03 May 06, 11:16; édité 1 fois |
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Helene
Inscrit le: 11 Nov 2004 Messages: 2846 Lieu: Athènes, Grèce
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écrit le Wednesday 03 May 06, 1:53 |
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Le drapeau actuel de la Grèce est celui qui a été adopté après l’Indépendance du pays. Il est formé d’une croix qui symbolise le christianisme ainsi que 9 rayures. Les cinq rayures bleues sous-entendent les syllabes de Ε-λευ-θε-ρί-α et les quatre rayures blanches ή θά-να-τος. C'est-à-dire Liberté ou Mort.
Voir aussi les autres drapeaux de la Grèce dans le fil de discussion sur « Drapeaux officiels et officieux »
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Poyon
Inscrit le: 24 Jul 2005 Messages: 765 Lieu: Liège (Waremme)
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écrit le Thursday 04 May 06, 9:20 |
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Voici les armes de la Province de Liège (Wallonie, Belgique) :
Celles de l'ancienne Principauté de Liège (de 980 à 1794)
* Liège (Ville de Liège): De gueules au perron haussé, supporté par trois lions sur trois degrés, monté d'une pomme de pin, sommé d'une croix pattée, le tout d'or, accosté d'un L et G majuscules du même.
* Bouillon (Duché de Bouillon): De gueules, à la fasce d'argent.
* Franchimont (Marquisat de Franchimont): D'argent, à trois lions de sinople, armés et lampassés de gueules, et couronnés d'or.
* Looz (Compté de Looz): Burelé (10) d'or et de gueules.
* Hornes (Compté de Hornes): D'or, à trois cors de chasse de gueules, virolés et enguichés d'argent.
Celles de la ville de Liège :
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Vincent
Inscrit le: 19 May 2006 Messages: 50 Lieu: Bâle, Suisse
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écrit le Friday 19 May 06, 23:58 |
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Le symbole de la Lettonie est le chêne (ozols), qui représente la Force. Les "ancien Lettons" (avant le christianisme) célébraient leur rituels au pied des chênes. A Jāņi, la fête qui célébre le milieu de l'été (en gros la Saint-Jean chez nous, devenue fête nationale) les hommes se ceignent la tête de branches de chêne. On retrouve la feuille de chêne sur les billets de 5 lats. La Lettonie a offert trois chênes à la Suisse dans les années 20. On peut leur rendre visite à Genève, au bord du lac devant le bâtiment de l'OMC. |
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Picasso
Inscrit le: 13 Mar 2006 Messages: 64 Lieu: Fribourg (Suisse)
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écrit le Friday 07 Jul 06, 16:52 |
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L'écusson du Canton de Fribourg est très simple: coupé de sable et d'argent
Il rappelle l'histoire (légendaire?) de la fondation de la Ville de Fribourg, racontée dans la chanson suivante (de l'Abbé Joseph Bovet):
Le drapeau noir et blanc
Dans les halliers que bordent la Sarine
Le Duc Berchtold un jour s'en va chasser
La nuit surprend au bord de la ravine
Tout seul, perdu, Zaehringen harrassé
Refrain: Fais le flotter, Fribourg ô lande franche
Ton beau drapeau de Berchtold hérité
Qu'à nos regards sa teinte noire et blanche
Parle à jamais à tous de charité
Le Duc Berchtold dans l'ombre envahissante
Perçoit au loin le toît d'un bucheron
Or c'est deux sacs le lit qu'on lui présente
L'un de farine et l'autre de charbon
Au jour Berchold, quittant sa couche austère
Voit son pourpoint orné de blanc de noir
Il dit alors: "Fribourg, ma libre terre,
Ces deux couleurs, voilà ton étendard" |
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