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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Wednesday 21 Nov 07, 21:26 |
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la négation du verbe :
en arabe littéral:
Elles sont au nombre de 4 selon la forme du verbe:
1- mâ ما[/size] pour l'accompli > mâ katabtu risâlät(an) ilâ wâlidayy ما كتبت رسالة إلى والدَيّ "je n'ai pas écrit de lettre à mes (2) parents"
2- lâ لا pour l'inaccompli indicatif > lâ aktubu risâlät(an) ilâ ixwätî لا أكتب رسالة إلى إخوتي "je n'écris pas (en général) de lettre à mes frères"
3- lan لن pour l'inaccompli subjonctif avec un sens futur > lan aktuba risâlät(an) ilâ 3ammî لن أكتب رسالة إلى عمّي "je n'écrirai pas de lettre à mon oncle paternel"
4- lam لم pour l'inaccompli apocopé avec sens passé > lam aktub risâlät(an) ilâ wâlidayy لم أكتب رسالة إلى والدَيّ "même sens que 1
pour l'impératif, on utlise lâ + inacc. apocopé: lâ taktub لا تكتب "n'écris pas".
en arabe dialectal maghrébin:
- mâ ... š(i)
mâ kteb-š >"il n'a pas écrit"
- mâ nekteb-ši > "je n'ecris / n'écrirai pas " avec un sens souvent plus radical (je n'écris / écrirai rien)
Dernière édition par Abdüssalâm le Wednesday 10 Mar 10, 21:10; édité 1 fois |
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dubsar
Inscrit le: 07 May 2007 Messages: 448 Lieu: Altkirch (F68)
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écrit le Sunday 25 Nov 07, 21:50 |
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Voilà un complément de réponse à la remarque de Mansio, sur les afformantes de la conjugaison accomplie.
Dans la forme sémitique originale, le système se présente comme ceci :
Conjugaison processive :
accompli : yiqtul ; inaccompli : yiqatal
Conjugaison stative :
qatal- + pronom affixe (suffixe). Cette forme est un adjectif conjugué. On l'apelle permansif en akkadien où le système est encore complet.
En langues sémitiques de l'ouest, le système évole : le permansif-statif devient l'accompli et l'inaccompli utilise les formes de l'ancien accompli (cette inversion pourrait expliquer le phénomène des inversions : waw inversif en hébreu, lam en arabe, etc).
Le pronom qui se suffixe à l'adjectif statif est le même qui se suffixe à la base an- du pronom indépendant aux deux premières personnes. A la 3ème personne, l'adjectif est nu au masculin, ou mis au féminin:
pronom indépendant :
1sg : *an-aku
2 masc sg : *an-ta
2 fém sg : *an-ti
1 pl : *an-naHnu
2masc pl : *an- tum
2fém pl : *an-tun
D'où l'akkadien (paris= séparé) :
parsāku
parsāta
parsāti
paris
parsat
parsānu
parsātunu
parsātina
parsū
parsā
Ensuite le k de la première personne a contaminé la deuxième en sud-arabique et en éthiopien, et le t de la deuxième personne a contaminé la première dans les autres langues ouest-sémitiques.
Dernière édition par dubsar le Monday 11 Feb 08, 22:42; édité 1 fois |
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pierrehenrinavarre
Inscrit le: 05 Dec 2007 Messages: 25 Lieu: Morges
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écrit le Thursday 10 Jan 08, 1:39 |
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Ma question sort peut-être un peu du sujet mais elle peut l'intéresser beaucoup car elle porte sur les noms terminés par une lettre faible ce qui arrive aux verbes aussi.
Comment devient un nom terminé par un alif maqsourah auquel on ajoute un pronom affixe ?
L'alif maqsourah devient-il un ya ?
Comment avec un tel nom terminé par un pronom affixe marque-t'on alors le cas et la détermination ou l'indétermination ?
Mêmes questions avex les noms terminés par un alif, un waw ou un ya.
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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Sunday 13 Jan 08, 16:55 |
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Le chapitre des racines "anormales" auxquelles se rattachent les racines défectueuses, c-à-d, celles dont la 3° radicale est alif, wâw ou yâ' est une des sections les plus compliquées de la morphologie arabe. Je compte les traiter dès que je le pourrais, mais n'ayant pas, pour l'instant d'ordinateur personnel, je ne peux me lancer dans des sujets trop longs.
Pour répondre à la question, disons que:
1°/ lorsque le alif maqSûrät ى qui apparaît à la fin de certains mots, se trouve dans une préposition ou dans un verbe affecté d'un suffixe pronominal de l'acc., celui-ci devient un diphtongue -ay:
prépositions:
-3alâ (sur) > 3alayka (sur toi) على > عليْك
-ilâ (vers) > ilayhi (vers lui) إلى > أليْهِ
notons que dans ce cas la voyelle des pr. pers. de 3° pers. masc. sing. et pl. deviendra i et non plus u
mais:
3alayya (sur moi) et ilayya (vers moi) عليَّ إليَّ
verbe conjugué:
- mašâ (il a marché) > mašaytu (j'ai marché) مشى > مشيْت
-iSTafâ (il a selectionné) > iStafaytu (j'ai...)
mais:
-mašat (elle a marché) مشتْ
-iSTafat (elle a selectionné) اصطفتْ
cela parce qu'il ne peut y avoir en morphologie ar. 2 cons. quiescentes de suite (sauf à la pause) et le tâ' ت de la 3° pers. fem. sing. de l'acc. l'est obligatoirement.
2°/ si, par contre, le pr. perrs. est rattaché à un nom ou un verbe en tant que C.O.D, il devient "alif":
-al-mantadâ (le forum) > mantadânâ (notre ...) المنتدى > منتدانا
-iSTafâ (il a selectionné) >iSTafâhu(il l'a selectionné) اصطفى > اصطفاه
pour les noms ayant une finale alif, wâw ou yâ' les choses se compliquent et demandent un développement que je ne peux, pour l'instant, ma permettre, mais nous y reviendrons plus tard.
Dernière édition par Abdüssalâm le Wednesday 16 Jan 08, 20:09; édité 1 fois |
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Luc de Provence
Inscrit le: 11 Jul 2007 Messages: 682 Lieu: Marseille
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écrit le Sunday 13 Jan 08, 20:21 |
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Ne vaut-il pas mieux écrire toujours le alif maqsurat avec sa barre verticale s'il s'agit bien d'un A car au Moyen-Orient j'ai souvent vu un alif maqsurat sans sa barre verticale car.......Il s'agissait d'un i long final auquel on négligeait de mettre les deux points au dessous ! |
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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Wednesday 16 Jan 08, 20:04 |
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Effectivement, de nombreuses éditions, par souci d'économie, ne distinguent pas le yâ' dont elles omettent les 2 points souscrits en positions finale et isolée et le alif maqSûrät. Ce qui m'a causé, d'ailleurs, beaucoup de tracas lors de mes premières lectures de livres arabes. Mais une fois que le vocabulaire acquis est suffisamment important ce genre de confusion devient moins fréquente, mais pas inexistante.
Dans le Coran, le yâ' est écrit sans les points en positions finale et isolée, mais le kasrät sous la voyelle précédente ou de n'importe quelle voyelle sur le signe yâ' lui-même enlève toute anbiguité sur la valeur de cette lettre. De plus comme le fait justement remarquer Luc de Provence, on ajoute au alif maqSûrät un alif suscrit qui indique sa valeur "â". Mais le Coran est destiné à être lu aussi par des gens ne maîtrisant pas totalement l'arabe, ce qui explique sa graphie "pleine", les autres textes arabes sont plutôt destinés à des arabophones ou des arabisants ayant un certain niveau de langue. |
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pierrehenrinavarre
Inscrit le: 05 Dec 2007 Messages: 25 Lieu: Morges
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écrit le Thursday 17 Jan 08, 20:59 |
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Je pensais jusqu'à présent qu'un alif maqsourah était un ya sans points mais pas avec un alif écrit en position d'accent, cet alif maqsourah étant uniquement à la fin d'un mot.
Comment s'appelle le ya sans points qui sert de support au hamza ?
Cela varie-t'il en fonction de la position dans le mot ? |
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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Friday 18 Jan 08, 11:28 |
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le alif maqSûrät est une 3° rad. qui selon le schème utilisé deviendra une voyelle longue â ou un diphtongue ay ou encore une semi-cons. y. Elle varie donc, contrairement aux autres lettres faibles (w, y et alif) qui peuvent apparaître en 3° rad., d'où sa graphie particulière.
Le yâ' ss points support de hamzät n'a pas de nom puuisqu'il est un support variable. Seul, le hamzät compte. Quant à sa graphie, elle change selon sa place dans le groupe de lettres:
-al-jazâ'ir (Algérie) الجزائر
- qâri' (lisant, lecteur) قارئ
(voir: fil" écriture arabe: posez vos questions")
Ps: si le sujet "alif maqSûrät" devait s'étendre, je le placerai dans un fil particulier ou dans celui de l'écriture arabe, car peu à peu on sort du sujet. |
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pierrehenrinavarre
Inscrit le: 05 Dec 2007 Messages: 25 Lieu: Morges
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écrit le Tuesday 05 Feb 08, 19:07 |
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Mes questions concernent les verbes admettant plusieurs compléments d'objet direct (COD).
Selon une grammaire, lorsque les deux COD sont exprimés sous formes de pronoms (en l'occurence des pronoms affixes), c'est leur ordre qui détermine le rôle de chacun d'eux. Appelons rôle 1, le rôle du COD qui doit être placé en premier, et rôle 2 le rôle du COD qui doit être placé en deuxième.
Il semble clair, dans cette grammaire, que, lorsque les pronoms sont de personnes différentes et qu'ils ne se succède pas dans l'ordre 1ère personne-2ème personne, dans l'ordre 1ère personne-3ème personne ou dans l'ordre 2ème personne-3ème personne, l'emploi de la particule îyâ est obligatoire entre les pronoms.
Cependant, il n'est pas clair si l'emploi de cette particule est obligatoire lorsque les deux pronoms sont de la même personne.
L'emploi de cette particule est-il obligatoire lorsque les deux pronoms sont de la même personne
parfois (et dans quels cas), jamais ou toujours ?
Il semble évident que lorsque les deux COD sont donnés sous formes de noms, le COD jouant le rôle 1 doit être placé avant le COD jouant le rôle 2.
Cependant, lorsque un des COD est donné sous forme d'un pronom et l'autre d'un nom, on ne sait pas trop comment faire pour que les rôles des COD soient bien distingués.
Comment faire donc :
-lorsque le COD jouant le rôle 1 est donné sous forme de pronom et le COD jouant le rôle 2 est donné sous forme de nom ;
-lorsque le COD jouant le rôle 2 est donné sous forme de pronom et le COD jouant le rôle 1 est donné sous forme de nom ? |
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pierrehenrinavarre
Inscrit le: 05 Dec 2007 Messages: 25 Lieu: Morges
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écrit le Wednesday 27 Feb 08, 20:35 |
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N'ayant pas reçu de réponse à ma dernière interrogation mais voulant en soulever une autre, je la présente ici avant que j'oublie.
Dans les grammaires on trouve des exemples de formation de l'impératif avec la particule li suivi de l'aoriste apocopé. Selon celles-ci, on peut ajouter la particule fa ou la particule wa avant la particlule li, le kasrah de celle-ci étant remplacé par un soukoun. La particule li est accolée au verbe et lorsque la particule fa est présente, elle est accolée à la particule li. Ainsi pour traduire "écrivons !", on peut dire :
"linaktub" ( لَنَكْتُبْ ), "falnaktub" ( فَلْنَكْتُبْ ), "walnaktub" ( وَلْنَكْتُبْ ).
Dans un message que je n'ai pas retrouvé, il était indiqué, si je me souviens bien, que l'on pouvait former l'impératif avec la particule la suivie du subjonctif.
Est-ce exact ?
Si oui, pouvez-vous donner un ou plusieur(s) exemple(s), par exemple dans le coran ? |
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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Friday 07 Mar 08, 23:39 |
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la première version n'est pas "linaktub" mais "lanaktub" comme nous l'avons indiqué dans le fil "Allons-y/falnabda'"
Quant à ta question antérieure, peux-tu donner des exemples concrets, car/
1°/ je n'ai pas d'ordinateur
2°/ le cybercafé de mon village a fermé et je ne peux te répondre aujourd'hui que parce que je suis en déplacement à Sète
je ne peux donc passer beaucoup de temps sur le site et ne peux répondre qu'à des questions très concrètes. Désolé. |
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dubsar
Inscrit le: 07 May 2007 Messages: 448 Lieu: Altkirch (F68)
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écrit le Monday 31 Mar 08, 20:41 |
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Le tamazight utilise deux conjugaisons à préformantes pour les temps processifs (accompli et inaccompli) comme l’akkadien.
L’ouest sémitique a une conjugaison d’accompli à suffixe (ancienne conjugaison stative) et utilise les conjugaisons à préfixe pour l’inaccompli.
Il y a pas mal d’éléments de comparaison entre les langues sémitique set le tamazight :
Prétérit
Uriγ (j’ai écrit) ; ferneγ (j’ai choisi) : suffixe –y (plus un préfixe qui modifie la voyelle de ari ?), hébreu katav-ti (j’ai écrit)
Turiḍ (tu as écrit) ; tferneḍ (tu as choisi) : circonfixe t-ḍ, akkadien ta-prus-i (tu as séparé 2eme pers fém sg), hébreu ti-khtebh-i (tu écriras, féminin). Le circonfixe avec sa dentale sourde - sonore emphatique est particulièrement surprenant.
Yura (il a écrit) ; yefren (il a choisi) : préfixe y- ; akkadien i-prus (il a séparé), hébreu y-khtobh (il écrira)
Tura (elle a écrit) ; tefren (elle a choisi) : préfixe t- ; akkadien ta-prus (elle a séparé), hébreu ti-khtobh (elle écrira)
Nura (nous avons écrit) ; nefren (nous avons choisi) : préfixe n- ; akkadien niprus (nous avons séparé), hébreu ni-khtobh (nous avons écrit)
Turim (vous avez écrit), tfernem (vous avez choisi) : circonfixe t-m, akkadien circonfixe ta-ā, taprusā (vous avez séparé, 2eme pers plur masc et fem), hébreu ti-khtebh-u (masc), ti-khtobh-na (fém)
Turimt (vous avez écrit) ; tfernemt (vous avez choisi)
Uran (ils ont écrit) ; fernen (ils ont choisi) : ?
Urant (elles ont écrit) ; fernent (elles ont choisi)
Pour le futur qui s’aide d’un auxilliaire (racine 3d : espace, temps, jusque, etc ?) les phénomènes d’affixation semblent similaires :
Futur
Ad aruγ, ad ferneγ
Ad taruḍ, ad tferneḍ
Ad yaru, ad yefren
Ad taru, ad tefren
A(d) naru, a(d) nefren
A(d) tarum, a(d) tfernem
A(d) tarumt, a(d) tfernemt
Ad arun, a(d) fernen
Ad arunt, a(d) fernent |
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dubsar
Inscrit le: 07 May 2007 Messages: 448 Lieu: Altkirch (F68)
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écrit le Monday 31 Mar 08, 20:44 |
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Et pour les pronoms personnels on peut trouver assez rapidement des points de comparaison :
Nekk (moi, je) : akkadien : anāku, hébreu ’anokhi
Kečč (toi, tu) masc : akkadien, pronom pers accusatif-génitif : kâti, datif : kâšim
Kemm (toi, tu) fem :-
Netta (lui, il) : -
Nettat (elle) : suffixe -t du féminin
Nekkni (nous) masc : hébreu : anakhnu
Nekenti (nous) fem
Kenwi (vous)masc : akakdien pron pers acc-gen : kinūti au masc, kināti au fém
Kenemti (vous) fem
Nutni (eux, ils)
Nutenti(elles) |
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Abdüssalâm
Inscrit le: 02 Jan 2007 Messages: 909 Lieu: Aiguillon
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écrit le Sunday 14 Feb 10, 12:14 |
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J'ai remonté aussi ce fil pour qu'il soit voisin de celui sur la concordance des temps et éventuellemnt, qu'on puisse y parler de la conjugaison dans les dialectes arabes |
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aboukhaldoun
Inscrit le: 11 Apr 2008 Messages: 441 Lieu: Bruxelles/Tripoli (Liban)/Homs (Syrie)
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écrit le Thursday 18 Feb 10, 0:35 |
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Toujours sur le modèle d’Abdüsseläm,
Pronoms isolés en bduwî :
-Singulier :
1° pers. : anî
2° pers. masc. : ənta
2° pers. fém. : ənti
3° pers. masc. : huwwä
3° pers. fém. : hiyyä
-Duel :
Inusité
-Pluriel :
1° pers. : ḥənna/əḥnâ
2° pers. masc. : əntu
2° pers. fém. : əntənn
3° pers. masc. : hum
3° pers. fém. : hənn
Pronoms suffixes en bduwî :
-Singulier :
1° pers. avec le nom : -î/-y (après une voyelle) ; avec le verbe : -nî
2° pers. masc. : -ak/-k (après une voyelle)
2° pers. fém. : -ič/-č (après une voyelle)
3° pers. masc. : -a(h)/-u(h)/-h (après une voyelle)
3° pers. fém. : -hä
-Duel :
Inusité
-Pluriel :
1° pers. : -nä
2° pers. masc. : -kum
2° pers. fém. : -čənn
3° pers. masc. : -hum
3° pers. fém. : -hənn
Pronoms isolés en ḥḍêrî :
-Singulier :
1° pers. : anâ
2° pers. masc. : ənte
2° pers. fém. : ənti
3° pers. masc. : huwwe
3° pers. fém. : hiyye
-Duel :
Inusité
-Pluriel :
1° pers. : naḥnâ
2° pers. masc. : ənto
2° pers. fém. : ənto
3° pers. masc. : hənn/hənne
3° pers. fém. : hənn/hənne
Pronoms suffixes en ḥḍêrî :
-Singulier :
1° pers. avec le nom : -î/-yâ (après une voyelle) ; avec le verbe : -nî
2° pers. masc. : -ak/-k (après une voyelle)
2° pers. fém. : -ik/-iki/-k (après une voyelle)
3° pers. masc. : -o/-h (après une voyelle)
3° pers. fém. : -a/-hâ (après une voyelle)
-Duel :
Inusité
-Pluriel :
1° pers. : -nâ
2° pers. masc. : -kon
2° pers. fém. : -kon
3° pers. masc. : -on/-hon (après une voyelle)
3° pers. fém. : -on/-hon (après une voyelle)
Dernière édition par aboukhaldoun le Friday 14 May 10, 17:14; édité 2 fois |
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