D’autres rues parcourent le vieux village : la Calade, la rue du Porche et la rue du Four. En 1900, ma famille vivait à la Calade. J’entends parler du Débassaïre, du Calos, d’Henriette la frisée, du Rancounaïre, de Jourdanette et de bien d’autres, généralement désignés par leurs surnoms. Expression de la vie sociale d’alors.
Photo René Domergue
Source : Extraits de l’introduction du livre de René Domergue, Des Platanes, on les entendait cascailler, éd. RD.
(Etude de la vie quotidienne dans un village du pays de Nîmes, Gard)
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