La Féria de Nîmes

 

Tomes 1 et 2

 

Etude réalisée par des élèves de 1ère ES du Lycée Montaury

et la collaboration de nombreux professeurs

Dessins d’Eddie Pons

Editions AL2, 1994 et 1996

 

 

La Féria de Nîmes (tome 1)

Quelles sont les bodégas sélects ?

Comment déjouer le filtrage à l’entrée ?

Est-ce que les bodégas ou les casetas rapportent des fortunes à ceux qui les gèrent ?

Quel est le pourcentage de gens en état d’ébriété à deux heures du matin ?

Qu’est-ce que l’afeitado ? le sorteo ? le callejon ?

Qu’est-ce qui oppose toristas et toreristas ?

Non, abrivado ne signifie pas arrivée, mais alors quel est le sens de ce mot ?

Quel est le prix de revient d’un verre de sangria ?

Savez-vous ce que signifie se tanquer au comptoir, se quicher un pastaga, se faire aganter par le biou ?

83% des français n’aiment pas la corrida, quelle est l’opinion des nîmois à cet égard ?

Tout cela, et bien d’autres choses encore, vous pourrez l’apprendre dans ce livre, aussi original qu’instructif

 

La Féria de Nîmes (tome 2)

Le succès de LA FERIA DE NIMES (tome 1) a conduit ses auteurs à prolonger leurs recherches.

            Ce livre poursuit la tradition d’investigations tous azimuts : de la pégoulade à la tauromachie ou aux commerces ; des sujets les plus sérieux aux thèmes les plus insolites comme Chiens et chats, Escroqueries, Glaçons, Pharmacie, Resquille, Sex shops.

            Toutefois le tome 2 n’est pas qu’une extension du premier ouvrage, il a sa personnalité propre, concrétisée par de nouveaux axes de recherche.

            C’est ainsi qu’une dizaine d’articles sont consacrés à la présentation des traditions camarguaises dans la féria de Nîmes : bandido, défilés de gardians, messe provençale...

            Une dizaine d’articles sont également consacrés aux Férias du passés : ambiance dans les arènes avant et pendant le spectacle, chansons de l’époque, féria des masets, spectacles comico-taurins avec la troupe El Gallo...

            La prise en compte du langage local dans le contexte de la Féria ancre profondément l’ouvrage dans la culture régionale.

                        Et, pour finir en beauté, le livre propose quelques articles traitant de questions dérangeantes :

            La viande de toro est-elle toujours servie sous cette étiquette ?

            Pourquoi la direction des arènes ne communique-t-elle pas le nombre réel de spectateurs ?

            Peut-on s’arranger avec certains placeurs des arènes pour s’installer à de bonnes places ?

            Comment s’y prennent certains pour obtenir aux guichets des arènes plus des quatre places réglementaires ?

 

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