alphabet sanskrit (romanisation officielle BGN/PCGN)
voyelles
gutturales
cérébrales  
labiales
sifflantes
anusvāra
diphtongues
palatales
dentales
semi-voyelles  
aspiration
visarga
majuscules avec diacritiques (initiales des noms propres)
Version simplifiée pour claviers français
(utilisée dans les anciens ouvrages d'érudition)

Les voyelles longues se marquent avec le circonflexe : â, î, û.
La sifflante palatale ś s'écrit ç.
Les nasales gutturale et palatale s'écrivent n.
L'anusvāra s'écrit n (ou m avant labiale).
Les caractères marqués d'un point s'écrivent en italique.
(le r voyelle long, très rare, se marque par le redoublement et l'italique)
Śiva, Viṣṇu, Kṛṣṇa, Śrī = Çiva, Visnu, Krsna, Çrî
Viṣṇu Purāṇa, Ṛg Veda = Visnu Purâna, Rg Veda
Version simplifiée pour claviers anglo-saxons (ASCII)
(utilisée dans les fichiers .txt)

Les voyelles longues se marquent par le redoublement : aa, ii, uu.
La sifflante palatale ś s'écrit z.
Les nasales gutturale et palatale s'écrivent n.
L'anusvāra s'écrit n (ou m avant labiale).
Les caractères marqués d'un point s'écrivent en majuscule.
(le r voyelle long, très rare, se marque par le redoublement et la majuscule)
Śiva, Viṣṇu, Kṛṣṇa, Śrī = ziva, viSNu, kRSNa, zrii
Viṣṇu Purāṇa, Ṛg Veda = viSNu puraaNa, Rg veda

Choix des formes lexicographiques

Les verbes se donnent à la troisième personne du singulier du présent de l'indicatif.
On a aussi coutume d'indiquer éventuellement la racine :
bharati (bhṛ-) « il porte », asti (as-) « il est », tiṣṭhati (sthā-) « il se tient », ṛcchati (ṛ-) « il obtient », sunoti (su-) « il presse »
(par tradition lexicographique, le sens français peut être donné à l'infinitif)

Les noms se donnent éventuellement au nominatif singulier (forme in pausa) mais, plus couramment
et pour plus de clarté, par leur radical qui, dans ce cas, devrait être suivi d'un tiret (souvent omis).
aśvaḥ (aśva-) « cheval », pitā (pitṛ-) « père », bharan (bharant-) « portant », ātmā (ātman-) « âme », akṣṇā (akṣan-) « œil »