Dossier de presse

 

Des Platanes, on les entendait cascailler

 

 

 

Midi Libre, édition de Nîmes, 23.07.98

        Portrait d’un village au fil d’anecdotes savoureuses.

         Des centaines d’anecdotes, dix années de recherche, trois versions, cent quatre-vingt-huit pages... Plus qu’une classique étude sociologique, au-delà d’une banale monographie rurale, « Des platanes, o n les entendait cascailler » restitue tout simplement le quotidien d’un village gardois, de 1900 à nos jours. Dans son parler, ses coutumes, ses rituels (...) Des Platanes, on les entendait cascailler, est lisible par tous, de l’enfant à l’érudit, du Languedocien à l’estranger.

         Marie-Laurence Gaillac

 

Cévennes Magazine, 18.07.98

         Ce livre raconte un siècle de bouleversements de la vie quotidienne (...)  les notions de pudeur ont évolué, ou encore celle de tolérance à l’égard des jeunes, de respect, d’esthétique, de même la conception du bon ou du mauvais... C’est dire que ce que nous percevons aujourd’hui comme normal ne l’a pas toujours été, et sans doute ne le sera plus d’ici quelques décennies...

        Arlette Lucas

 

La Marseillaise, 02.08.98

         René Domergue, « un bougre de linguiste du peuple ! »

         L’auteur a donc pris son stylo de pèlerin pour (...) faire authentiquement « cascailler » les pages à la manière d’un fantastique livre où anecdotes et aventures le disputent à une réflexion, à une théorisation de l’état des lieux et des choses (...) C’est (Henri Mendras), l’auteur de ‘La fin des paysans’, qui a poussé René Domergue à élaguer et retravailler sa thèse afin de la faire éditer. Henri Mendras a d’autre part favorisé une deuxième rencontre très opportune, celle de Bernard Kayser, qui s’intéresse en particulier à la renaissance rurale et engage à ne pas être barré par le regard passéiste sur les campagnes.

         M-J Latorre

 

Dépêche AFP du  06.08.98

        Comment vivait-on au début du siècle dans un village du Midi, comment les étapes menant à la modernité ont-elles été vécues ...?... L’ouvrage de près de 200 pages raconte les grands chapitres de la vie quotidienne - le travail aux champs, la religion, l’hygiène, la politique ou les loisirs - dans un langage simple, bourré d’anecdotes et d’expressions en « patois »....

 

La Provence, édition d’Avignon, 17.08.98

          Inclassable, ce livre peut se lire sur différents niveaux. L’estranger pourra pénétrer dans la société fermée de Montpezat, découvrir les rites de la Fête-Dieu, se méfier du fataïre, ou partager les moments de la vie quotidienne. Mais Des Platanes, on les entendait cascailler, est aussi une mine pour les sociologues. Il raconte la fin des paysans. Sans compter l’approche linguistique qui voit le passage de l’occitan au français.

         E.M.

 

Le Pèlerin, 04.09.98

          (L’auteur) se dit « enquêteur dans l’âme » et aime conter avec les mots de son pays, les événements, les querelles politiques et religieuses qui ont jalonné pendant un siècle la vie de Montpezat. A propos de son dernier livre, Des Platanes on les entendait cascailler, René Domergue explique que sa recherche, fondée sur le principe du plaisir, peut également se comprendre comme une étude des rituels de la société paysanne.

         Hélène Labour

 

César, hebdo Gard-Vaucluse-Bouches du Rhône, 09.09.98

        Aï ! Ça cascaille !

 

 

Nîmes-la ville, revue de la ville de Nîmes, septembre 98

          Avec Des Platanes, on les entendait cascailler, René Domergue pose un regard tendre et perspicace sur une société paysanne du Midi avant les années 60. A la fois chronique populaire et recherche ethnographique, cet ouvrage (...) porte en filigrane le flambeau de la tolérance.

         A. G.

 

La Provence, édition d’Arles, 14.10.98

          (L’auteur) dépeint ce microcosme rural de l’intérieur, sans complaisance, avec ses bons et ses mauvais côtés (...) L’originalité de ce livre réside dans l’intégration d’un mode narratif incluant le patois occitan, comme l’illustre le sous-titre : Vivre et parler dans un village du midi.

         L Nuel-Pitiot

 

Regard, magazine du Conseil Général du Gard, octobre 1998

          Voyage au pays d’hier (...) Au fil des rencontres et des traces laissées sur les mémoires des anciens, se dessine doucement, puis de plus en plus précisément, un paysage insolite, passionnant, de ce vieux monde d’avant le grand basculement...

         Michel Moati

 

La Croix, 17.11.98

         Confrontant les témoignages, recoupant les informations, (l’auteur) restitue dans une livre vivant et savoureux, qui baigne dans un parler haut en couleur hérité du patois, la vie d’une communauté avant « le grand basculement » des années 60, quand l’irruption de la vie moderne mit fin aux us et coutumes ancestraux (...) Dans les années 60, les « couillonnades » des jeunes cessent, les processions sont abandonnées, les enfants ne succèdent plus à leur père. La société paysanne disparâit...

         Jacques Molénat

 

La Gazette de Montpellier, 24.12.98

         Vaï te’n cagar a la vinha ! Va voir ailleurs si j’y suis  La période 1900-1950, ce n’était pas le bon vieux temps : qui oserait regretter la maladie, le froid, l’isolement ? Mais ce n’était pas non plus le temps du malheur... Dans les villages languedociens, l’électricité arrive au début de ce siècle : en quelques décennies, on va passer de la lampe à huile à l’ordinateur. Nos villages vont « perdre leur âme » diront certains. Mais ils gagnent le confort. Dans un livre de témoignages, René Domergue, originaire d’une petite commune près de Sommières, raconte son village. Prenez avec lui un bain de pays.

 

   Suivent trois pages d’extraits. Dossier repris et étoffé, dans le numéro 1 de la Gazette de Nîmes, 26 avril 1999.

 

Causses et Cévennes, 4ème trimestre 1998

         On est d’abord entraîné dans un tourbillon de bons mots et d’anecdotes, d’autant plus savoureux que l’auteur a pris le parti de restituer les témoignages dans leur teneur originale. Il a sciemment conservé tout le vocabulaire occitan ou, comme il dit, le patois de Montpezat, dont le flamboiement et la richesse sont présents à toutes les pages.

         Pierre Albert Clément

 

Gard Gazette, Fédération des foyers ruraux, février 1999

          « Si tu es pas capable de réussir à l’école, tu iras foïre ! » Tu iras fouir, piocher ! Voilà ce que disaient les parents à leurs enfants, au début des années 60. Le travail de la terre est synonyme de déchéance, alors qu’à peine une décennie auparavant « les enfants restaient à la terre », même s’ils étaient doués pour les études. C’est la Fin des Paysans.

 

La Mandragore, direction. J-L Le Quellec, n°4, 1999

          (L’auteur) montre que l’histoire orale permet de restituer une parti importante de vérité, oubliée des archives. Ainsi, le recensement de 1901, utilisé comme document de base pour de nombreuses études de sociologie historique. (...) Passant en reveue ces insuffisances du document écrit d’époque, René Domergue corrige la vision du monde des historiens qui n’ont oublié qu’une chose : la parole des gens. Son livre se lit d’une traite...

 

Documents pour l’Enseignement Economique et Social, CNDP, mars 1999

         ...Cet ouvrage peut être abordé à plusieurs niveaux. D’abord, on peut y voir une chronique d’un siècle de vie et de changement social dans un village du Midi. On se régale des anecdotes et des expressions occitanes. Ensuite, on trouvera dans ce livre une étude à la fois générale et adaptée du changement social ; au fond, on a là une illustration de la « fin des paysans ». L’étude confirme l’hypothèse défendue par Henri Mendras dans La Seconde Révolution française, du grand basculement qui s’est achevé au milieu des années soixante. Mais au lieu d’en faire une analyse macrosociale, il l’étaye à partir d’une foule d’éléments vivants (...) Enfin, on peut s’intéresser à ce livre en temps qu’enquête ethnographique. Cette société paysanne, si proche de nous historiquement, est suffisamment éloignée au plan culturel pour qu’on puisse percevoir la dimension historique des normes sociales...

         René Revol

 

Midi Libre, Pages Région, 15.08.99

          Il n’existe pas de petits ou de grands livres mais seulement des ouvrages qui touchent ou non leur public. De ce point de vue, le succès du livre Des Platanes, on les entendait cascailler, ne peut que réjouir. Non seulement l’ouvrage a rencontré son public régional, mais il a aussi reçu des marques d’estime de la part d’écrivains, comme Jean-Pierre Chabrol, ou d’universitaires. De grands noms - comme Henri Mendras, Pierre Bourdieu et Maurice Agulhon - y ont reconnu l’écho, trop rare, d’une vraie parole populaire. (...) René Domergue a trouvé une manière complice et respectueuse de raconter. Décrite ainsi de l’intérieur par ses derniers témoins, cette société palpite sous nos yeux.

         Gérard Durand

 

La Semaine de Nîmes, 26.08.99

         La force de son livre tient d’ailleurs à son authenticité. On a l’impression d’entendre ces gens, si proches dans le temps et à la fois si loin culturellement. C’est la résurgence d’un monde passé, avec ses rituels de jeunesse (raouber les galines, voler les poules, et autres couillonnades du samedi soir), sa vie religieuse, son contrôle social très pesant...

         Véronique Barbier

 

La Voix Domitienne, n° 34 - hiver 2000-2001

         René Domergue a délibérément choisi son camp en privilégiant l’humour, humour dans le choix des anecdotes, humour dans les situations, humour dans le vocabulaire... Le message de mémoire n’en passe que mieux.

 

 

Autres parutions :

 

Midi Libre, éd. de Nîmes, 14 extraits du livre, du 10 au 23 août 98

L’Exploitant agricole du Gard, 24 décembre 1998

Midi Libre, édition de Montpellier, 10.08.98

La Marseillaise, 16.08.98

La Dépêche de Tahiti, 19.08.98

Haute-Marne Dimanche, 23.08.98

La Provence Libérée, édition d’Aix, 22.08.98

Le pays d’Apt, septembre 98

Chemin-Faisant, hiver 98

La Provence, édition d’Arles, 31.10.98

Agenda de la littérature orale, juillet-août-septembre 98

La fé di biou, décembre 1998

La Gazette de Nîmes, 26 avril 1999

La Dépêche du Midi, éd. de l’Aude, Carcassonne, 11 (ou 10?) juin 1999

Midi Libre, édition de Nîmes, 4 mars 2002

 

 

Articles parus à l’occasion de la réédition du livre, en juin 2003

Midi Libre 14 juin 2003, édition de Nîmes

Le journal du Pont du Gard, supplément juillet 2003

Midi Libre, 16 août 2003, édition de Nîmes

Midi Libre, 18 juin 2003, édition Uzège, Cévennes, Vidourle.

Midi Libre 29 juin 2003, pages Région.

 

 

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