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Auteur |
Message |
Wang
Inscrit le: 24 Oct 2005 Messages: 16
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écrit le Monday 28 May 18, 7:15 |
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Est-ce que quelqu'un a une petite idée de :
1) Combien il existe de verbes à particules, de collocations, de « idioms » en anglais ?
2) Combien un locuteur natif anglais en connait ? Et un américain ?
3) Combien faut-il en connaitre en moyenne pour atteindre un niveau B2 ? C1 ? C2 ?
Bien sûr je m'attends surtout à des ordres de grandeur.
Merci ! |
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José Animateur
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 10945 Lieu: Lyon
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écrit le Monday 28 May 18, 9:15 |
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Dans quel cadre fais-tu cette recherche et quel en est l'intérêt ?
As-tu effectué un début de recherche ? |
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Wang
Inscrit le: 24 Oct 2005 Messages: 16
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écrit le Monday 28 May 18, 17:59 |
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Surtout de la curiosité, mais aussi tenter d'évaluer le temps que cela peut me prendre pour atteindre tel ou tel niveau, parce que j'ai le sentiment de ne pas voir le bout. Avoir un chiffre même assez flou en tête aide à tenir sur le long terme.
Avec le vocabulaire c'est assez facile, mais je trouve que les niveaux de référence sont très peu explicites sur le sujet.
Pour l'instant je vois surtout ce que contiennent tels ou tels livres spécialisés : en prépa scientifique il y a des livres avec des listes de phrasal verbes pour l'anglais journalistique, il y a des livres spécialisés sur les phrasal verbs, des recueils de tournures idiomatiques, je vois aussi ce qu'il y a sur Mosalingua, sur Anki, sur memrise, etc.
L'autre intérêt, pour moi, est de comparer l'idiomaticité de l'anglais face à d'autres langues. |
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Wang
Inscrit le: 24 Oct 2005 Messages: 16
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écrit le Thursday 31 May 18, 8:17 |
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Pour être un peu plus concret si on maîtrise le sens de 150 verbes à particules, et 350 « idioms » (ce qui est proposé sur Mosalingua) ça vous place en moyenne comment ? B2 ?
J'ai l'impression que beaucoup de gens arrivent à parler couramment l'anglais et même prétendent être C1 et en connaissent en fait un nombre ridiculement bas, c'est suffisant pour la plupart des exigences de l'entreprise, mais ce n'est pas un vrai handicap quand on est vraiment immergé dans un contexte natif ?
Ça n'est pas un obstacle rhédibitoire pour arriver enfin à penser comme un anglophone ?
Et à escamoter tous les germanismes on ne passe pas à côté de l'essentiel de ce qui fait l'esprit et le vrai intérêt de la langue anglaise ? |
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