L’intégration des étrangers

dans les villages des environs de Nîmes

 

 

               De nombreux étrangers - nommés ici estrangers - arrivent dans les villages du pays de Nîmes, et dans les villages du midi en général. Pour ce qui concerne la période 1900 - 1960, les principales vagues sont formées d’abord par des Cévenols, puis par des Italiens et des Espagnols.

 

1925, un enfant d'immigré italien en compagnie d'un ancien du village 

Montpezat - coll. René Domergue

 

                                                                                                                                                                                               

          - Ceux qui arrivent de la montagne : les Gavots

          - Ceux qui arrivent des basses Cévennes : les Raïous

          - Ceux qui arrivent d’Italie : les babis

          - Les immigrés Italiens et la « pastachoute »

          - Le mariage des immigrés Italiens

          - Ceux qui arrivent d’Espagne : les manja-tomatas

          - L’immigré Espanol et la langue

          - L’étranger venu du village voisin

 

Précision : L'étude est faite avec le souci de préserver le langage des gens. La population concernée vit dans le Midi de la France, de nombreuses expressions renvoient donc à la culture occitane (ou provençale). Elle apparaissent en italiques gras de couleur noire lorsqu'il s'agit d'occitan pur, et sont alors écrites avec la graphie classique. Lorsque l'occitan est francisé, les mots sont seulement en italiques gras.

 

 

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