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Rivière Seine et canal de Tancarville |
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La Seine navigable se décompose en cinq parties : la Petite Seine, la Haute Seine, la traversée de Paris, la Basse Seine, et la Seine Maritime avec le canal de Tancarville. Chacune de ces parties est présentée individuellement. Mais la "Seine" est une usurpatrice. Et par deux fois qui plus est...
La déesse Sequana, par le sculpteur François Jouffroy, aux sources de la Seine, à Saint-Germain-Source-Seine, en Côte d'Or. Il s'agit en fait d'une copie de l'oeuvre originale de 1867.
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine
physique et administrative de la partie navigable Extrémité physique et
administrative Sens conventionnel de descente Longueur de la
partie classée navigable Système
alimentaire Origine du nom de la rivière |
Structures
administratives de rattachement Statut actuel Raisons de sa construction Compagnie
concessionnaire à l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfigurations Premiers travaux Conception Canalisation
commencée en Mise en service Racheté par l'Etat en Radiée |
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Les premiers mètres de la Seine, à Saint-Germain-Source-Seine (Côte d'Or). Au premier plan, le pont Paul Lamarche, du nom d'un gardien du site décédé en 2003 à l'âge de 101 ans. Le site de la source de la Seine est propriété de la Ville de Paris depuis 1864. À l'époque gallo-romaine, était ici rendu un culte important à la déesse Sequana, comme en témoigne la découverte à partir de 1836 d'un sanctuaire riche de plusieurs ex-votos conservés aujourd'hui dans le musée de Dijon. La longévité assez exceptionnelle de Paul Lamarche tend à prouver le caractère bienfaisant de l'eau de cette source !
La déesse Sequana, à Châtillon-sur-Seine
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La Seine : une double usurpatrice Signalons
tout de même que
d'après les géographes et les hydrologues, la Seine se jette dans
l'Aube non
loin de Romilly, et que cette dernière se jette dans l'Yonne à
Montereau (ce que confirment les chiffres des surfaces de bassins
versants et
des débits, et qui
est
très
net
en
vues
aériennes,
merci Géoportail).
La "Seine" qui traverse Paris et Rouen n'est donc qu'une usurpatrice,
qui vole
par
deux fois à d'autres rivières le titre de cours principal. Ce
que
nous
présentons
ici
n'est
donc
autre que
le
prolongement de l'Aube
navigable, et celui de l'Yonne,
ce qui fera au moins plaisir aux Bourguignons. En fait, il semble que
nos ancêtres aient nommé ainsi un axe commercial,
sans se
soucier de questions de débit ou de longueur. Or, de l'Aube,
de
l'Yonne et de la Seine, c'est cette dernière qui est la plus
facile à rejoindre par roulage depuis la Saône. Pour information,
le bassin versant de l'Aube à son confluent avec la Seine est de 4 700
km²,
tandis que celui de cette dernière n'est que de 4 000 km². Le débit
moyen et le bassin versant de l'Yonne à Monterau sont respectivement de
93 m³/s
et de près de 10 800 km², tandis que ces mêmes valeurs pour
la Seine
sont de à peine 80 m³/s et 10 300 km². Sur ce sujet, voir ce
site. Sequana : "la rivière de l'Yonne" Le nom latin de la Seine, Sequana, serait, d'après certains
linguistes, une déformation due à César du nom celte de la rivière
"Is-Ica-Onna", ce qui peut se traduire par "la rivière de lca-Onna
(l'Yonne)", soit "la rivière qui rejoint l'Yonne". Cela tend à
corroborer l'idée que les Anciens avaient déjà repéré que la Seine
était moins importante, hydrologiquement parlant, que l'Yonne. Mais
elle était plus importante commercialement.. |
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(au-dessus,
présentation globale
de la Seine)
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La "Petite Seine" va de Marcilly/Seine à Montereau L'écluse de Marnay avant 2007. On aperçoit au loin le joli panache blanc de la centrale de Tchernob... Nogent-sur-Seine. (photo Eric Berthault)
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Bassin versant Type de voie d'eau
Relie Origine physique et
administrative de la partie
navigable Origine physique de la
partie
réellement navigable Extrémité physique et
administrative Longueur de la partie
classée navigable Temps minimum de parcours |
Structure
administrative de rattachement Statut actuel Compagnie
concessionnaire à l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service en Racheté par l'Etat en |
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Sur la Petite Seine : le barrage de Conflans (photo Eric Berthault)
Deux vues de l'écluse de Conflans-sur-Seine, au début du XXe siècle.
L'ancienne écluse de Bray
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Nombre d'écluses Gabarits Aujourd'hui
, De Nogent à Bray-sur-Seine (la Grande Bosse) (5 écl.) : 120 m sur 8 m, mouillage 2 m, hauteur libre 4,35 m De Bray-sur-Seine (la Grande Bosse) à Montereau (2 écl.) : 180 m sur 11,40 m, mouillage 2,50 m (enfoncement admis 2,20 m), hauteur libre 5,60 m Ouvrages remarquables Système alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés : |
Remarques Les travaux de mise à grand gabarit de 3000 tonnes de la Seine jusqu'à Nogent avancent progressivement. Actuellement on remonte jusqu'à Nogent avec des bateaux de 1000 tonnes. Il reste à réunir Port Montain à Nogent par le tronçon rectiligne dont les "casiers" sont déjà prêts depuis plusieurs années. (retour au texte) Il subsiste un bajoyer gauche, vestige d'une ancienne écluse de petit gabarit (49 m) à Montereau, un peu à l'amont du confluent, en rive gauche, ainsi que les maçonneries d'un pertuis juste en face, en rive droite. C'était l'écluse et le barrage de Courbeton, les premiers construits en 1850 sur la petite Seine, et détruits entre 1891 et 1921. Le barrage était était un des premiers à hausses Chanoine. (retour au texte)
Cette partie de la rivière qui, soi-disant, arrose la capitale donne l'impression d'une voie d'eau qui va s'effilochant d'aval en amont, jusqu'à aboutir au cul-de-sac du canal de la Haute Seine, fermé. C'est dommage, car à partir de Nogent, il serait logique et relativement facile de lui faire rejoindre Vitry-le-François pour l'ouvrir sur l'Est de la France, et les pays germaniques. De plus en plus, l'on a tendance à inclure la partie de Marcilly à Nogent dans le canal de la haute Seine, ce qui est une erreur, même si un programme commun de réhabilitation concerne ces deux voies d'eau. La section concernée appartient à la Seine et non au canal de Haute Seine. |
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Vestiges de l'écluse et du barrage de Courbeton, à Montereau. (Photos Maurice Ballery, site Bord à bord)
Dans les années 1960, cette ancienne écluse de Courbeton est encore visible. On la devine à droite, grâce à sa maison éclusière. (Coll. Maurice Ballery)
L'écluse et le barrage, encore à aiguilles, de Jaulnes, avant leur modernisation
L'écluse de Marnay est à présent équipée d'un ponton coulissant pour les plaisanciers (Photo Eric Berthault)
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Liens : des photos de la Petite Seine sur ce blog |
(au-dessus,
présentation de la Petite
Seine)
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La "Haute Seine" va de Montereau à Paris.
L'ancienne écluse de la Madeleine, entre Montereau et Saint-Mammès, aujourd'hui abandonnée par suite du relèvement du barrage et de l'écluse de Champagne-sur-Seine.
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine physique et administrative
de la partie
navigable Extrémité physique et
administrative Longueur de la partie classée
navigable Nombre
d'écluses Gabarit Temps minimum de parcours Ouvrages remarquables Système
alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés :
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Structure
administrative de rattachement Statut actuel Compagnie concessionnaire à
l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service en Racheté par l'Etat en |
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Remarques La haute Seine n'est pas la même pour tout le monde Pour le kayakiste et le canoëiste, la "haute Seine", c'est en amont de Troyes, voire de Bar-sur-Seine. Ne pas confondre, et bien savoir à qui on s'adresse ! |
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Au début du XXe siècle, deux berrichons vont monter l'écluse de Champagne.
L'écluse de Samois, aujourd'hui supprimée
L'ancienne écluse de Melun. Ci-dessous, l'arrivée du toueur et de son convoi.
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(au-dessus,
présentation de la Petite
Seine et de la Haute
Seine)
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C'est la Seine dans sa traversée de Paris. La Seine parisienne au XVIIIe siècle, avec la tour de Nesles. En bas à droite, on reconnaît, amarrée, une besogne (gravure du XIXe siècle)
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine physique et
administrative de la partie
navigable Extrémité physique et
administrative Longueur
de la partie classée
navigable Nombre
d'écluses Temps minimum de parcours |
Structure
administrative de rattachement Statut actuel Compagnie concessionnaire
à
l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service en Modernisée en Racheté par l'Etat en |
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La Seine parisienne au XVIIIe devant l'hôtel de ville et la place de Grève (dont on comprend l'origine du nom). Le bon peuple se réjouit du spectacle de quelques exécutions capitales... (gravure du XIXe siècle)
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Gabarit Ouvrages remarquables Système
alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés : |
Remarques Au niveau des îles, la traversée de Paris est réglementée : le petit bras (ou bras de la Monnaie) est réservé aux bayeaux montants, le grand bras est réglementé par un alternat. |
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L'écluse de la Monnaie, presque sous le Pont Neuf. Sa chute est nulle.
La même écluse et son barrage vus depuis, justement, le Pont Neuf
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Liens : un site intéressant sur la Seine au niveau des îles de Paris Les ponts de la Seine parisienne au début du XXe siècle
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(au-dessus,
présentation de la Petite
Seine, de la Haute Seineet
de la traversée
de Paris)
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La "Basse Seine" va de Paris à Rouen. Les écluses de Notre-Dame-de-la-Garenne
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine physique et administrative
de la partie
navigable Extrémité physique et
administrative Longueur
de la partie classée navigable Nombre
d'écluses Temps minimum de parcours
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Structures
administratives de rattachement Statut actuel Compagnie concessionnaire à
l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service en Modernisée en Racheté par l'Etat en |
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Les écluses et le barrage de Notre-Dame de la Garenne (ou "du Rocher"), vus d'avion. On remarque les différents gabarits proposés aux bateaux. Le plus grand sas, au centre, mesure 200 m sur 24. Le plus petit, juste à côté, est plus grand que du gabarit Freycinet.
Les écluses de Bougival, au début du XXe siècle. Bougival est un des sites fluviaux les plus réussis de la Seine. Le navigateur a le choix entre plusieurs sas selon le gabarit de son bateau, l'ensemble se trouvant dans un cadre verdoyant. Nous sommes à deux pas, ou deux tours d'hélice de la Maison Fournaise, où se retrouvaient les peintres impressionnistes.
Les écluses des Mureaux, au milieu du XXe siècle, mises hors-service en 1964 par suite du relèvement du barrage éclusé de Méricourt.
L'écluse de Notre-Dame de la Garenne au début du XXe siècle
L'écluse et le barrage de Poses-Amfreville au début du XXe siècle
Le site des écluses de Poses-Amfreville dans les années 1950. Aujourd'hui, les petits sas au milieu de l'ensemble d'ouvrages ont été comblés et seuls restent en service les grands bassins latéraux.
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Ouvrages remarquables Système alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés : |
Remarques La marée se fait sentir jusqu'au pied des écluses de Poses-Amfreville, à 40 km en amont de Rouen. L'écluse de Pont de l'Arche La première écluse à sas implantée sur la Seine semble être celle de Pont de l'Arche, disparue aujourd'hui. Implantée en rive droite sur une canalette appelée parfois "canal de Pont de l'Arche", large de 13 m, longue de 80 m et surmontée d'un pont, elle est due à la volonté de Napoléon 1er (1811) de faciliter le passage du pont de la Seine en implantant cet ouvrage en partie dans le fossé du châtelet de la rive droite. Lorsque le grand programme de canalisation de la Seine par barrages mobiles éclusés fut lancé vers le milieu du XIXe siècle, cette première écluse fut neutralisée par celles de Martot-Saint-Aubin-lès-Elbeuf à l'aval, et de Poses-Amfreville à l'amont, pour être finalement abandonnée en 1858. Par suite des opératins de draguage de la rivière, l'écluse de Martot-Saint-Aubin fut à son tour supprimée au cours de la seconde moitié du XXe siècle. À sujet, voir ce site : l'écluse de Limaie entre Pont de l'Arche et Igoville (1813-1858) |
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Le pasage du pont de Pont de l'Arche au XVIe siècle. Voir ce site
L'ancienne écluse de 1811 de Pont de l'Arche
Le site de Pont de l'Arche sur l'Atlas de Trudaine (seconde moitié du XVIIIe siècle). L'écluse était implantée en partie dans le petit fossé ceinturant le châtelet en rive droite. La carte est orientée nord en bas, et la Seine coule du bas-gauche vers le heut-droit de l'image.
Autre vue de cette écluse de Pont de l'Arche déjà abandonnée au début du XXe siècle. (Merci à Eric27, site Bord à Bord)
Trois vues anciennes de l'écluse de Martot-Saint-Aubin-lès-Elbeuf, aujourd'hui abandonnée et recyclée en port. Ci-dessus la tête aval, ci-dessous la tête amont.
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(au-dessus,
présentation de la Petite
Seine, de la Haute Seine,
de la traversée
de Paris et de la Basse
Seine)
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La Seine Maritime s'étend de Rouen à la mer.
Le bac de Caudebec en Caux (photo Françoise Amiel-Hébert)
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine
physique et administrative de la partie navigable Extrémité physique et
administrative Longueur de la partie
classée
navigable Nombre
d'écluses Gabarit Temps minimum de parcours Ouvrages remarquables Système
alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés :
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Structure
administrative de rattachement Statut actuel Compagnie concessionnaire à
l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Conception Commencée en Mise en service en Racheté par l'Etat en |
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Remarques Le mascaret Cette
partie de la Seine était soumise
au phénomène du mascaret, grosse vague
créée par la rencontre de la marée
montante et du
courant descendant de la rivière, accentuée par
le
bouchon vaseux déposé alternativement par la
rivière et la marée. |
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Le terrible
mascaret de Caudebec (gravure du XIXe siècle)
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(au-dessus,
présentation de la Petite
Seine,
de la Haute
Seine, de la traversée
de Paris,
de la Basse
Seine, et de la Seine
Maritime)
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Le canal de Tancarville double l'estuaire de la Seine.
Le pont tournant de Tancarville au début du XXe siècle (coll. Françoise Amiel-Hébert)
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Bassin versant Type de voie d'eau Relie Origine physique et
administrative de la partie navigable Extrémité physique et
administrative Sens conventionnel de
descente Longueur de la
partie classée navigable Gabarit Temps minimum de parcours Ouvrages remarquables Système alimentaire Voies d'eau adjacentes : Principales villes
traversées : Départements concernés :
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Structure
administrative de rattachement Statut actuel Compagnie concessionnaire à
l'origine de sa création Personnalités importantes ayant contribué à sa construction Préfiguration Décision Conception Commencé en Mis en service le Concédé par l'Etat au Port
Autonome du Havre en
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L'inauguration
du canal de Tancarville, le 27 juillet 1887.
Les images de l'inauguration du canal de Tancarville nous sont fournies par Françoise Amiel-Hébert, que nous remercions. |
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Cumuls : Longueur navigable : Nombre d'écluses : |
Remarques Le
canal de Tancarville débouche
dans
le port du Havre. Ce dernier possède d'autres
écluses
dont l'écluse François 1er construite de 1967
à
1972, la plus grande de France avec 400 m de longueur utile, 67 m de
largeur, et 24 m de profondeur. La chute est fonction des
marées. Une autre écluse havraise
intéressante est
l'écluse dite "de Floride", puis "Quinette de Rochemont",
construite en 1911. (retour au texte)
Le
canal de Tancarville
possède deux embranchements. Le canal dit "d'Harfleur" ou
Lézarde redressée et canalisée (ne pas confondre avec le canal
d'Harfleur de Vauban),
en cul de sac, a été aménagé en 1838 par l'ingénieur P-F.
Frissard. Le canal
Bossière fait communiquer le canal de Tancarville avec
le "grand canal du Havre" d'une part, et le bassin René Coty
d'autre part par l'écluse François 1er. Il s'agit d'un projet inachevé de canal maritime, au sud du canal de Tancarville. |
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L'écluse de Tancarville au début du XXe siècle
Vue aérienne du pont de Tancarville, peu avant son ouverture en 1959, et de l'écluse d'entrée du canal homonyme
L'écluse François 1er, au Havre (photo Françoise Amiel-Hébert)
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Liens : Des informations importantes et de belles photos sur la Seine sur le site Cap Breizh (suivre "Découvertes touristiques") La Seine en partage (portail géographique de la Seine) Le barrage et les écluses de Poses-Amfreville Une descente de la Seine en nombreuses photos (in english, sorry !) |
< voie d'eau précédente |
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Retrouvez les bateaux fluviaux du Bassin Parisien dans le CDrom "Bateaux des Rivières et Canaux de France", version très enrichie (plus de textes, plus d'illustrations, et même quelques bateaux supplémentaires) du département "Bateaux" du présent site, édité par l'association HiPaRiCa. Voir la présentation et la commande ici et ici. |